Notre offre

Ensemble, vers la réalisation de vos objectifs financiers.

Notre métier est la gestion, le conseil et le suivi des patrimoines financiers,

DEPUIS 2007

Avec la satisfaction des clients au cœur de nos préoccupations, Delcap propose des services de gestion, conseil en investissement et monitoring aux investisseurs privés, aux institutions et fondations.

Avec la satisfaction des clients au cœur de nos préoccupations, Delcap propose des services de gestion, conseil en investissement et monitoring aux investisseurs privés, aux institutions et fondations.

Création de la société

+

Clients en Belgique et en Europe

+

(millions €) actifs sous gestion
ou sous conseil (au 30/06/2023)

~

(milliards €) actifs
en monitoring
Création de la société

+

Clients en Belgique et en Europe

+

(millions €) actifs sous gestion ou sous conseil
(as at 30/06/2023)

~

(milliards €) actifs en monitoring

Notre offre

01

Votre portefeuille
indiciel

Delcap gère des portefeuilles indiciels traditionnels et ISR à l'aide de fonds indiciels et ETFs.

Votre portefeuille
indiciel

Opter pour un portefeuille indiciel vous permet de répliquer la performance des marchés, en utilisant des fonds indiciels et des ETFs. Le portefeuille sera conforme à votre profil de risque et votre objectif d'investissement. Chaque stratégie a par ailleurs son équivalent ISR, dont l'allocation actions est composée d'entreprises ayant obtenu les meilleures notes ESG.

02

Portefeuille
Delcap RDT

Le potentiel de rendement d'un portefeuille diversifié, couplé à un régime fiscal favorable.

Portefeuille
Delcap RDT

La déduction pour dividendes perçus (RDT) est un régime d'exonération fiscale par lequel, sous certaines conditions, une société peut déduire intégralement de son bénéfice imposable la taxe payée sur les dividendes qu'elle a reçus d'une autre société.

03

Fonds
Delcap

Découvrez TowerView Impact
et
TowerView Stability.

Fonds Delcap

TowerView Impact investit dans des fonds d'actions qui se concentrent sur les entreprises dont les produits et services ont un impact positif sur l'environnement et l'être humain.


TowerView Stability investit dans un portefeuille diversifié de fonds d'actions et d'obligations, avec un objectif de performance de 2-3% au-dessus des taux d'intérêt à court terme, tout en limitant la volatilité et les pertes intermédiaires.

04

Private
Equity

La possibilité d'augmenter la performance grâce au Private Equity.

Private
Equity

Delcap constitue des "feeder funds" afin de permettre à ses clients d'avoir accès à des gérants que nous connaissons depuis plusieurs années. Ces investissement se font au travers de sociétés de droit belge et nécessitent un horizon d'investissement important (10 à 12 ans).

03

Services de Monitoring

Supervision et reporting pour des investisseurs dont le patrimoine est complexe.

Services de Monitoring

Delcap propose le monitoring ou supervision d'actifs à des fondations, ASBL et autres organisations disposant d'un patrimoine financier important. Certaines familles font également appel à ce service.

Delcap a signé les UNPRI

Delcap est signataire des Principes pour l'Investissement Responsable des Nations Unies (UNPRI). Delcap démontre ainsi son engagement envers l'investissement responsable et son désir de contribuer à un système financier plus durable.

Vous voulez en savoir plus ?

Votre portefeuille,

en un seul clic

Suivez vos portefeuilles et leur performance en ligne avec My Delcap. Une représentation claire, dynamique et en temps réel de vos portefeuilles.

Consulter votre performance

Partout, à n'importe quel moment

100% mobile

  My Delcap

Consultez votre performance

Partout, à n'importe quel moment

100% mobile

Pour une meilleure expérience financière.

Avec Delcap, vous obtenez un partenaire expérimenté qui s'occupe de vous.


BRUXELLES

13 MEMBRES D'ÉQUIPE

NIVEAU DE SERVICE ÉLEVÉ

TOUCHE LOCALE

PORTÉE MONDIALE

Pour aborder les questions financières avec sérénité.

Avec Delcap, vous avez un partenaire expérimenté à vos côtés.

BRUXELLES

13 collaborateurs

expérience & service personnalisés

EMPREINTE LOCALE / COUVERTURE GLOBALE

Voulez-vous en savoir plus?



Vous souhaitez en savoir plus ?

Dernières Actualités

hill, person, landscape
02 oct., 2023
Marchés actions : Repli global suite aux déclarations strictes de la Fed Les actions mondiales ont reculé en euro (-1.7%) et en devises locales (-3.5%). L’évènement principal du mois fut la réunion du comité de politique monétaire de la Réserve Fédérale le 19 et le 20 septembre. Conformément aux attentes, cette réunion n’a pas débouché sur une hausse de taux. Par contre, le président Jerome Powell a envoyé un message plus dur que prévu aux marchés, en insistant sur la nécessité de combattre l’inflation dans un contexte où l’économie est toujours robuste. En conséquence, les membres de la Fed vont probablement procéder à une dernière hausse de taux avant la fin de l’année et assouplir leur politique très progressivement en 2024. L’indice des prix à la consommation (CPI) américain pour le mois d’août, publié le 13 septembre, ne justifiait pas un message de politique monétaire plus conciliant. Le CPI est passé de 3.2% à 3.7% par an. L’indice « cœur » (ex. Food & Energy ») est passé de 4.7% à 4.3%, mais tous deux restent largement supérieurs à l’objectif officiel de 2%. Cette perspective de maintien de taux élevés a négativement impacté les actions américaines, qui ont chuté sensiblement plus que les actions européennes ou émergentes. Contrairement aux autres secteurs, le secteur de l’énergie a progressé, en raison d’une hausse du pétrole brut (+9%) qui est repassé au-dessus de 90 USD/bbl. Marchés obligataires : rendement des Treasury Bonds atteint son point le plus élevé depuis 2007 Le discours de Jerome Powell a entraîné un accroissement des rendements obligataires . Le rendement des Treasury Bonds à 10 ans est passé de 4.11% à 4.57%, niveau que l’on n’avait pas atteint depuis 2007. Le rendement des Bund à 10 ans est passé de 2.47% à 2.84%. Le mois de septembre n’a donc pas été bon pour les obligations . L’indice Bloomberg Global Aggregate EUR-Hedged, représentatif des obligations de bonne qualité (« investment grade ») a cédé 1.9%. Les obligations d’entreprise ont mieux résisté que les obligations souveraines. Les obligations de moins bonne qualité (« high yield ») ont surperformé, avec une performance légèrement positive pour la moyenne des émissions en euro. Devises : l’or et le cours EUR/USD affectés par la hausse des taux d’intérêt L’or a souffert de la hausse des taux d’intérêt (-4.7% en USD). Le dollar a bénéficié des préoccupations inflationnistes de la banque centrale américaine. La monnaie américaine a gagné 2.6% face à l’euro , réduisant ainsi les pertes sur actifs en dollar pour les investisseurs de la zone euro.
white, house, pool, blue, water
01 sept., 2023
Marchés actions : retour de la volatilité Les actions mondiales ont faibli en août avec des baisses de 1.3% en euro et 2.1% en devises locales. La politique monétaire de la Réserve Fédérale demeure la principale préoccupation des investisseurs. Au cours de la première moitié du mois, les investisseurs ont relevé leurs attentes en matière de hausse des taux, et les actions ont plongé jusqu’à perdre environ 5%. Ces craintes ont ensuite diminué et les bourses mondiales ont presque effacé leurs pertes. Lors de sa déclaration à la réunion annuelle des banquiers centraux à Jackson Hole , Jerome Powell n’a rien dit qui pourrait rassurer ou inquiéter les marchés. Il a simplement réitéré l’importance de tendre vers l’objectif de 2% d’inflation tout en restant attentif aux statistiques économiques. Le consensus des analystes penche pour un statu quo lors de la prochaine réunion de la Fed (20 septembre) mais une dernière hausse de 25bps lors de la réunion suivante (1er novembre). La Réserve Fédérale ne doit en tous cas pas trop s’inquiéter pour l’économie. Le PNB américain a crû de 2.2% au cours du second trimestre. L’inflation évolue dans le bon sens mais reste trop élevée pour baisser les taux. L’indice des prix à la consommation a progressé de 3.2% sur 12 mois et l’inflation « cœur » (sans les prix de l’énergie et de l’alimentation) représente 4.7% sur base annuelle. Les données économiques de la zone euro sont moins bonnes. La croissance du deuxième trimestre ne représente que 0.6% et l’inflation est plus élevée qu’aux Etats-Unis. L’inflation « cœur » (5.5%) ne diminue pas. Les pays émergents ont sous-performé, en particulier à cause de la Chine dont les statistiques économiques se détériorent. La banque centrale assouplit sa politique monétaire. Les actions de moyenne et petite capitalisation ont sous-performé les grandes capitalisations aussi bien aux Etats-Unis qu’en Europe. Il n’y a pas eu de grande dispersion entre les secteurs . Le secteur pétrolier et celui de la santé ont néanmoins surperformé. Marchés obligataires : les taux à long terme s'approchent d'un sommet On n’a pas observé beaucoup de mouvement dans les marchés obligataires . Les taux à long terme en dollar ont légèrement monté. Le rendement des Treasury Bonds à 10 ans est passé de 3.96% à 4.11%. Les rendements à 2 ans en USD et en EUR ont légèrement diminué. L’indice Bloomberg Global Aggregate EUR-Hedged, représentatif des obligations de bonne qualité (« investment grade ») au niveau mondial, a cédé 0.3%. Les indices d’obligations d’entreprise de moins bonne qualité (« high yield ») ont légèrement progressé. Les rendements à 3 mois sont actuellement plus élevés que ceux à 2 ans, ce qui indique que la Fed et la BCE devraient baisser leurs taux directeurs en 2024 et 2025. Devises et matières premières : l’euro perd face au dollar L’euro s’est déprécié face au dollar (-1.4%). Il a en revanche gagné 3.5% face à la NOK. L’or a cédé 1.3% en USD (stable en EUR). Le prix du baril de pétrole brut a progressé d’environ 2% (83.6 USD en fin de mois).

Dernières Actualités

hill, person, landscape
02 oct., 2023
Marchés actions : Repli global suite aux déclarations strictes de la Fed Les actions mondiales ont reculé en euro (-1.7%) et en devises locales (-3.5%). L’évènement principal du mois fut la réunion du comité de politique monétaire de la Réserve Fédérale le 19 et le 20 septembre. Conformément aux attentes, cette réunion n’a pas débouché sur une hausse de taux. Par contre, le président Jerome Powell a envoyé un message plus dur que prévu aux marchés, en insistant sur la nécessité de combattre l’inflation dans un contexte où l’économie est toujours robuste. En conséquence, les membres de la Fed vont probablement procéder à une dernière hausse de taux avant la fin de l’année et assouplir leur politique très progressivement en 2024. L’indice des prix à la consommation (CPI) américain pour le mois d’août, publié le 13 septembre, ne justifiait pas un message de politique monétaire plus conciliant. Le CPI est passé de 3.2% à 3.7% par an. L’indice « cœur » (ex. Food & Energy ») est passé de 4.7% à 4.3%, mais tous deux restent largement supérieurs à l’objectif officiel de 2%. Cette perspective de maintien de taux élevés a négativement impacté les actions américaines, qui ont chuté sensiblement plus que les actions européennes ou émergentes. Contrairement aux autres secteurs, le secteur de l’énergie a progressé, en raison d’une hausse du pétrole brut (+9%) qui est repassé au-dessus de 90 USD/bbl. Marchés obligataires : rendement des Treasury Bonds atteint son point le plus élevé depuis 2007 Le discours de Jerome Powell a entraîné un accroissement des rendements obligataires . Le rendement des Treasury Bonds à 10 ans est passé de 4.11% à 4.57%, niveau que l’on n’avait pas atteint depuis 2007. Le rendement des Bund à 10 ans est passé de 2.47% à 2.84%. Le mois de septembre n’a donc pas été bon pour les obligations . L’indice Bloomberg Global Aggregate EUR-Hedged, représentatif des obligations de bonne qualité (« investment grade ») a cédé 1.9%. Les obligations d’entreprise ont mieux résisté que les obligations souveraines. Les obligations de moins bonne qualité (« high yield ») ont surperformé, avec une performance légèrement positive pour la moyenne des émissions en euro. Devises : l’or et le cours EUR/USD affectés par la hausse des taux d’intérêt L’or a souffert de la hausse des taux d’intérêt (-4.7% en USD). Le dollar a bénéficié des préoccupations inflationnistes de la banque centrale américaine. La monnaie américaine a gagné 2.6% face à l’euro , réduisant ainsi les pertes sur actifs en dollar pour les investisseurs de la zone euro.
white, house, pool, blue, water
01 sept., 2023
Marchés actions : retour de la volatilité Les actions mondiales ont faibli en août avec des baisses de 1.3% en euro et 2.1% en devises locales. La politique monétaire de la Réserve Fédérale demeure la principale préoccupation des investisseurs. Au cours de la première moitié du mois, les investisseurs ont relevé leurs attentes en matière de hausse des taux, et les actions ont plongé jusqu’à perdre environ 5%. Ces craintes ont ensuite diminué et les bourses mondiales ont presque effacé leurs pertes. Lors de sa déclaration à la réunion annuelle des banquiers centraux à Jackson Hole , Jerome Powell n’a rien dit qui pourrait rassurer ou inquiéter les marchés. Il a simplement réitéré l’importance de tendre vers l’objectif de 2% d’inflation tout en restant attentif aux statistiques économiques. Le consensus des analystes penche pour un statu quo lors de la prochaine réunion de la Fed (20 septembre) mais une dernière hausse de 25bps lors de la réunion suivante (1er novembre). La Réserve Fédérale ne doit en tous cas pas trop s’inquiéter pour l’économie. Le PNB américain a crû de 2.2% au cours du second trimestre. L’inflation évolue dans le bon sens mais reste trop élevée pour baisser les taux. L’indice des prix à la consommation a progressé de 3.2% sur 12 mois et l’inflation « cœur » (sans les prix de l’énergie et de l’alimentation) représente 4.7% sur base annuelle. Les données économiques de la zone euro sont moins bonnes. La croissance du deuxième trimestre ne représente que 0.6% et l’inflation est plus élevée qu’aux Etats-Unis. L’inflation « cœur » (5.5%) ne diminue pas. Les pays émergents ont sous-performé, en particulier à cause de la Chine dont les statistiques économiques se détériorent. La banque centrale assouplit sa politique monétaire. Les actions de moyenne et petite capitalisation ont sous-performé les grandes capitalisations aussi bien aux Etats-Unis qu’en Europe. Il n’y a pas eu de grande dispersion entre les secteurs . Le secteur pétrolier et celui de la santé ont néanmoins surperformé. Marchés obligataires : les taux à long terme s'approchent d'un sommet On n’a pas observé beaucoup de mouvement dans les marchés obligataires . Les taux à long terme en dollar ont légèrement monté. Le rendement des Treasury Bonds à 10 ans est passé de 3.96% à 4.11%. Les rendements à 2 ans en USD et en EUR ont légèrement diminué. L’indice Bloomberg Global Aggregate EUR-Hedged, représentatif des obligations de bonne qualité (« investment grade ») au niveau mondial, a cédé 0.3%. Les indices d’obligations d’entreprise de moins bonne qualité (« high yield ») ont légèrement progressé. Les rendements à 3 mois sont actuellement plus élevés que ceux à 2 ans, ce qui indique que la Fed et la BCE devraient baisser leurs taux directeurs en 2024 et 2025. Devises et matières premières : l’euro perd face au dollar L’euro s’est déprécié face au dollar (-1.4%). Il a en revanche gagné 3.5% face à la NOK. L’or a cédé 1.3% en USD (stable en EUR). Le prix du baril de pétrole brut a progressé d’environ 2% (83.6 USD en fin de mois).
appartments, palm tree, green, white
01 août, 2023
Marchés actions : le Nasdaq 100 proche de son pic historique Les actions mondiales ont très bien performé en juillet avec des gains de 2.6% en euro et 3.2% en devises locales. À la traîne durant le premier semestre, les petites et moyennes capitalisations ont bien commencé le second semestre avec des performances comprises entre 4 et 5% en Europe et même un peu plus aux Etats-Unis. De même les actions émergentes et la Chine en particulier ont rattrapé une partie de leur retard sur les pays développés. À l’opposé, l’indice Eurostoxx 50, qui représente les grandes capitalisations de la zone euro , n’a gagné « que » 1.7%. La dispersion de performance entre les secteurs a diminué. Les valeurs financières et pétrolières ont très bien performé. Le secteur IT a poursuivi sa progression, mais au même rythme que les indices généraux. Le Nasdaq 100 a gagné 3.8%, grâce principalement aux fortes progressions de Nvidia, Alphabet et Meta Platforms (> +10%). L’indice n’est plus très loin de son pic historique de novembre 2021. Il a gagné 44.5% depuis le début de l’année. Pour retrouver une telle performance sur une période de 7 mois, il faut retourner à 2009 (rebond à la suite de la crise globale du crédit) et à 1999/début 2000 (formation de la bulle internet). Marchés obligataires : une confiance renforcée des investisseurs Le mois de juillet a été moins bon pour les obligations . L’indice Bloomberg Global Aggregate EUR-Hedged, représentatif de l’univers mondial des obligations de bonne qualité, a cédé 0.1%. Ce léger recul provient des obligations souveraines. Le taux à 10 ans américain est passé de 3.84% à 3.96%. De même, le rendement du Bund à 10 ans a progressé de 10 bps pour clôturer le mois à 2.49%. Les obligations émises par les entreprises ont enregistré une performance positive. Les obligations d’entreprise émises en euro ont enregistré une performance de +1.1%, aussi bien pour les ratings « investment grade » que les ratings « high yield ». Si l’on compare le ratio bénéfice/cours de l’indice S&P 500 (4.7%) avec le rendement des obligations du trésor US à 10 ans (3.96%), on obtient une prime de 0.7% pour détenir les actions. Cette différence est très faible. Elle était de 1.8% en début d’année. C’est un des indicateurs de la forte confiance des investisseurs. Dans le même ordre d’idée, le ratio cours/bénéfice du Nasdaq 100 atteint presque 29 pour 2023 et 24.5 pour 2024. Banques centrales : nouvelle hausse des taux directeurs La Réserve Fédérale et la Banque centrale européenne ont relevé leur taux directeur de 25 bps. La Fed cible désormais un taux compris entre 5.25% et 5.50%. Son message indique qu’elle pourrait faire une pause lors de la prochaine réunion, à condition que l’inflation continue à se rapprocher de 2% p.a. Les dernières données sont encourageantes. L’indice des prix à la consommation est passé de 4% en mai à 3% en juin. L’indice « cœur », également très important pour la banque centrale américaine, est descendu vers 4.8%. La Banque centrale européenne a porté son taux de dépôt à 3.75%. Elle note des signes encourageants mais une inflation qui reste globalement trop élevée (5.3% p.a. pour juillet). Devises et matières premières : l’euro tient la tête face au dollar, l’or et le pétrole en hausse L’euro s’est légèrement apprécié face au dollar (+0.8%) mais a cédé un peu de terrain face à d’autres grandes devises, en particulier la NOK (-4.9%). Malgré la baisse de l’inflation et la hausse des taux, l’or a gagné 2.4% en USD. Le prix du pétrole brut a progressé d’environ 15%.
Share by: